Samedi (03/01/09)
Paris
Des petites perles autour de l'eau, autour de mes semaines a la volee ici, chez moi. parce que ca reste chez moi, j'ai un trou, un petit contour de moi, une ombre de paris dans la peau et mon ombre emmelee dans quelques portables, dans une chambre un peu vide, et dans des souvenirs d'amis qui peuplent ma ville. Et j'essaye de raconter tous mes moments ici, parce que je me sens bien, je suis vraiment contente de revenir et c'est des remarques d'ecritures qui me viennent. Peut etre est-ce mieux. Dur de transparaitre dans des recits minutes, precis, suite d'actions blanches et banales l'une apres l'autre. Plus facile d'etre un peu plus moi en parlant de l'ecriture, en brodant autour des mots et non des actions.
Enfin je veu faaire quand meme un petit retour en arriere pour avoir ces semaines de serenite en cage de cristal dans un petit coin de moi. Lundi avant de partir des us, lasse, dernier examen, juste fatiguee, heureuse, mais lasse. J'ai besoin de revoir chez moi. C'est drole hier, vendredi, seule avec maman dans une maison froide, elle me fait la remarque que j'ai l'air plus triste. "OUi, t'as quelque chose de plus melancolique, yeux dans le vague."
Ouatch. OUi j'ai grandi, oui j'ai souffert, mais ce semestre a ete magique aussi. Plein de revelations, et de decouvertes en douceur, non rien d'eclatant, juste une cohabitation forcee et sasn fuite possible avec moi-meme.Alors, petite douleur de me voir etre reprochee de cette paix, au lieu de la joie bruyante et quelque peu forcee, effort pour couter tout le monde, afficher sourire radiant. Et la je pense un peu plus a moi et tchlac... enfin.
Hier soir c'etait agreable d'aller voir le film Louise-Michel avec Maman. Je sens son envie d'etre avec moi, de parler, partager, s'introduire plus dans ma vie. Oui parce que j'ai coupe tout contact et ne donne que quelques miettes, sans generosite, alors je comprends aussi. Mais sa buee de possession de moi, s'accrochent encore a ses doigts qui verifient mes hanches, me trouvent plus dure, moins ronde, a ses yeux qui jugent ma taille, ma mine, mon humeur; auscultee sous l'oeil expert, je suis encore sa chose et elle a besoin de son lien primaire maternel, son cordon entre nous.
Et en meme temps, une autre complicite s'instaure, hier on effleure doucement une douleur partagee, qu'elle a connue aussi, on partage le depart sucre-sale, un peu amer, l'exil volontaire, ou on est toujours entre-deux, mis la mis chez toi. Parce que ce semestre a ete intense et riche, puissant, euphorisant, mais la vie a continue ici. Chacun a choisi ses chemins ici aussi, et re-construit quelque chose de neuf, d'excitant dont je ne fais plus vraiment partie. Tique qui s'incruste quelque part entre le lycee et le present. Et ce sont les recits rechauffes et ameliores au fil du temps qui peuplent toutes mes retrouvailles, texte de theatre, croissant dans le faux et le simulacre au fil de l'eau.
Enfin je veu faaire quand meme un petit retour en arriere pour avoir ces semaines de serenite en cage de cristal dans un petit coin de moi. Lundi avant de partir des us, lasse, dernier examen, juste fatiguee, heureuse, mais lasse. J'ai besoin de revoir chez moi. C'est drole hier, vendredi, seule avec maman dans une maison froide, elle me fait la remarque que j'ai l'air plus triste. "OUi, t'as quelque chose de plus melancolique, yeux dans le vague."
Ouatch. OUi j'ai grandi, oui j'ai souffert, mais ce semestre a ete magique aussi. Plein de revelations, et de decouvertes en douceur, non rien d'eclatant, juste une cohabitation forcee et sasn fuite possible avec moi-meme.Alors, petite douleur de me voir etre reprochee de cette paix, au lieu de la joie bruyante et quelque peu forcee, effort pour couter tout le monde, afficher sourire radiant. Et la je pense un peu plus a moi et tchlac... enfin.
Hier soir c'etait agreable d'aller voir le film Louise-Michel avec Maman. Je sens son envie d'etre avec moi, de parler, partager, s'introduire plus dans ma vie. Oui parce que j'ai coupe tout contact et ne donne que quelques miettes, sans generosite, alors je comprends aussi. Mais sa buee de possession de moi, s'accrochent encore a ses doigts qui verifient mes hanches, me trouvent plus dure, moins ronde, a ses yeux qui jugent ma taille, ma mine, mon humeur; auscultee sous l'oeil expert, je suis encore sa chose et elle a besoin de son lien primaire maternel, son cordon entre nous.
Et en meme temps, une autre complicite s'instaure, hier on effleure doucement une douleur partagee, qu'elle a connue aussi, on partage le depart sucre-sale, un peu amer, l'exil volontaire, ou on est toujours entre-deux, mis la mis chez toi. Parce que ce semestre a ete intense et riche, puissant, euphorisant, mais la vie a continue ici. Chacun a choisi ses chemins ici aussi, et re-construit quelque chose de neuf, d'excitant dont je ne fais plus vraiment partie. Tique qui s'incruste quelque part entre le lycee et le present. Et ce sont les recits rechauffes et ameliores au fil du temps qui peuplent toutes mes retrouvailles, texte de theatre, croissant dans le faux et le simulacre au fil de l'eau.
Ecrit par kammika, à 20:33 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Vendredi (12/12/08)
r. Ne Me Quitte Pas
Dans mon lit, ma couette orange, mes draps vert pomme, la premiere chanson qui joue quand j'appuie sur play dans itunes est Ne ME Quitte Pas. J'explose en sanglots. r. s'esst mort. Il s'est jete contre le sol d'un stupide cinquieme etage samedi. J'ai compris qui s'etait mardi soir, il etai l'hopital et il est mort aujourdhui.
Putain de MERDE. R, Mon premier superbe souvenir du semestre. J deteste itunes.
si je pouvais juste crier, et reviser mon examen demain. Sil vous plait. Et tout ce que je peux voir c'est son sourire, et notre ballade au bord de l'eau jusqu'a 5h du matin ou on trouve efuge ans un abri blanc et moi gelee dans ses bras.
inquieme etage.
Putain de MERDE. R, Mon premier superbe souvenir du semestre. J deteste itunes.
si je pouvais juste crier, et reviser mon examen demain. Sil vous plait. Et tout ce que je peux voir c'est son sourire, et notre ballade au bord de l'eau jusqu'a 5h du matin ou on trouve efuge ans un abri blanc et moi gelee dans ses bras.
inquieme etage.
Ecrit par kammika, à 00:53 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Mardi (25/11/08)
C'est drle comme ca me manque finalement cet endroit d passage, ou je peux me soulager et puis aussi m'entendre me ressourcer, rendre un instant et me demander, qu'est ce qu'il devient de moi? Qui suis-je la tout de suite? Aussi, lutter contre l'oubli parce tout file si loin.
Dernier article pour mon anniversaire, c'est loin.
Ajourdhui est un mois de novembre froid, malgre la chaleur de hanksgiving qui approche je sens le mal de paris. Alors ecrire pour me remttre a ma place, ecrire pour savoir pourquoi je suis ici. Loin de chez moi. Ecrire aussi, juste pour le plisir qu'il y a a parler de soi sasn restriction, sasn limite. Je vasi recommencer a visiter ce lieu. Parce qu'a travers la frenesie de la vie ici qui m'epuise, un temps a moi, calme et libr, ici, sera comme une inspiration prfonde. Une pause.
Dernier article pour mon anniversaire, c'est loin.
Ajourdhui est un mois de novembre froid, malgre la chaleur de hanksgiving qui approche je sens le mal de paris. Alors ecrire pour me remttre a ma place, ecrire pour savoir pourquoi je suis ici. Loin de chez moi. Ecrire aussi, juste pour le plisir qu'il y a a parler de soi sasn restriction, sasn limite. Je vasi recommencer a visiter ce lieu. Parce qu'a travers la frenesie de la vie ici qui m'epuise, un temps a moi, calme et libr, ici, sera comme une inspiration prfonde. Une pause.
Ecrit par kammika, à 22:59 dans la rubrique les vagues a l'ame.
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Dimanche (16/03/08)
lettre
A mes vingt ans, mes quarante ans ou mes cent ans, à moi futur à moi proche
je suis à l'aube de mes dix sept ans une petite semaine et ca y est. Alors j'ai cette idee qui virvolte dans ma tete et ces phrases qui s'alignent toutes faites pour vous mes ages prochains. Pour vous dire comment j'etais pour ne pas changer, pour marquer ces jours passiones ou tout vibre et chatoie intensement ou je regarde eperdue tout avec un desir immense d'absolu. Je regarde les jours , je regarde les gens, je suis la, presente, vivante, moqueuse, j'ai le droit de tout, de courir pied nu, de rire, de me faire des rires, de prendre du pouvoir comme une gamine, de jouer cruellement avec les autres, pleine de morgue, d'etonner, de crier et de rire fort, j'ai le droit de tourner et de vivre jusqu'a plus faim. Puis la tete lourde et vite lassee de m'eendormir mollemement. Je danse en baskette et pieds nus, les voix m font frissoner, tremler l'echine, les mots de colette sont beaux, je suis la, je suis souple et je souris, jesuis capricieuse et je vibre.
J'ai le droit de rever a l'impossible, puisque tout est a portee de main et je sais que je me bas alors toi la prochiane moi bas toi, n'abandonne pas, ecris, jette a la face tes envies tes reves, m'oublie pas, oublie pas que tu as ete follasque, que tu sautais sur ton velo, pedalant pour voir le dehors, les autres, que tu te nourrissais de leur pas, ces autres, que tu as ete ambitieuse et indolente, que tu as fait des photos, que tu t'es tremoussee jusqu'a epuisement, que tu as ete une chasseuse d'mage, de maison detruites sentant le platre et le souoffre, carcasse que l'on dechire en piece, que l'on eventre a coup de fracas, le vieux monsieur face a face avec la rue dans sa cabine telephonique au soir qui tombait qui regardait intensement la rue, cherchant je ne sais quel souvenir, la vitre de cabine telephonique brisee, le verre pile segrenant sur le sol en autant de petit cristal vert d'eau, la branche d'arbre eclatee par terre suite a un brusque coup de vent et une voiture, le miroir qui reflete le ciel a cote de la moto dou il vient, le melon mange et creux sur les bords de l'eglise, souviens toi que tu vis dehors dans la ballade, le rythme pulsionnel de la foule et la Seine.
Souviens toi que tu as eu peur mais que tu fanfaronnes souviens toi de moi sil te plait. J'ai un peu peur de grandir, je ne sais plus biien ce qu'est l''age ni surtout ce qu'ai mon age, souviens toi de mon energie, et optimisme de ma foi dans la vie dans moi, parce que je sais que je peux y arriver je veuux y croire. Souviens toi de tout ce qu'oon a jamais assez e temps de faire, souviens toi que j'aime lire, j'aime m'oubllier jusqu'a l'ebetude dans ces histoires enchanteresse qui m'enivrent et me mettent dans un etat second, que j'aime ecouter comme petite les hiistoires des autres qu m'emerveille, souveins toi de mon vocabulaire , de mes expressions, de mes chansons, de mes mots fantasques, souviens toi que j'aime apprendre et que je n'en sais jamais assez, qu'il n'est jamais tard, que tu peux juste sortir et vivre, que je suis en paix avec moi, je me connais, je m'amuse je connais mes faux semblants, mes mensonges, mes fiertes deplacees, et mon autoritarisme, qu'il faut me juguler, mais pas m'oublier a devenir mievre et pale. Souviens toi de mes ennuis qui vire au mepris devant ceux qui ont perdus en route leur respect pour eux meme, leur energie, leur passion, leur interet, alors sois pas comme eux sil te plait. Fais moi fiere. Fais moi sensible, mais evite les larmes au bord des yeux qui sont trop presentes la tout de suite, continue a ecrire des lettres, hein, oublie pas mes gens, oubliepas que j'aime seduire, que je suis belle quand je veux, que j'ai une volonte brusque et soudaine, irrascible mais determinee, que je suis reactive comme un chat qu'on mouille qui feule et s'echappe en un eclair que j'ai envie d'etre amouruese et pas autre chose, Que je suis intransigeante et que je veux pas de compromis, que je suis entiere, noyauu dur quoique changeant, parfois desepere qu'y n'anbandonne aps par fierte, que non a vie n'est pas si compliquee,non jje le refuse et je resiste jusqu'a plus de souffle, que j'ai une vision simpliciste et enfantiine et que j'y arriverai.
A bientot
je suis à l'aube de mes dix sept ans une petite semaine et ca y est. Alors j'ai cette idee qui virvolte dans ma tete et ces phrases qui s'alignent toutes faites pour vous mes ages prochains. Pour vous dire comment j'etais pour ne pas changer, pour marquer ces jours passiones ou tout vibre et chatoie intensement ou je regarde eperdue tout avec un desir immense d'absolu. Je regarde les jours , je regarde les gens, je suis la, presente, vivante, moqueuse, j'ai le droit de tout, de courir pied nu, de rire, de me faire des rires, de prendre du pouvoir comme une gamine, de jouer cruellement avec les autres, pleine de morgue, d'etonner, de crier et de rire fort, j'ai le droit de tourner et de vivre jusqu'a plus faim. Puis la tete lourde et vite lassee de m'eendormir mollemement. Je danse en baskette et pieds nus, les voix m font frissoner, tremler l'echine, les mots de colette sont beaux, je suis la, je suis souple et je souris, jesuis capricieuse et je vibre.
J'ai le droit de rever a l'impossible, puisque tout est a portee de main et je sais que je me bas alors toi la prochiane moi bas toi, n'abandonne pas, ecris, jette a la face tes envies tes reves, m'oublie pas, oublie pas que tu as ete follasque, que tu sautais sur ton velo, pedalant pour voir le dehors, les autres, que tu te nourrissais de leur pas, ces autres, que tu as ete ambitieuse et indolente, que tu as fait des photos, que tu t'es tremoussee jusqu'a epuisement, que tu as ete une chasseuse d'mage, de maison detruites sentant le platre et le souoffre, carcasse que l'on dechire en piece, que l'on eventre a coup de fracas, le vieux monsieur face a face avec la rue dans sa cabine telephonique au soir qui tombait qui regardait intensement la rue, cherchant je ne sais quel souvenir, la vitre de cabine telephonique brisee, le verre pile segrenant sur le sol en autant de petit cristal vert d'eau, la branche d'arbre eclatee par terre suite a un brusque coup de vent et une voiture, le miroir qui reflete le ciel a cote de la moto dou il vient, le melon mange et creux sur les bords de l'eglise, souviens toi que tu vis dehors dans la ballade, le rythme pulsionnel de la foule et la Seine.
Souviens toi que tu as eu peur mais que tu fanfaronnes souviens toi de moi sil te plait. J'ai un peu peur de grandir, je ne sais plus biien ce qu'est l''age ni surtout ce qu'ai mon age, souviens toi de mon energie, et optimisme de ma foi dans la vie dans moi, parce que je sais que je peux y arriver je veuux y croire. Souviens toi de tout ce qu'oon a jamais assez e temps de faire, souviens toi que j'aime lire, j'aime m'oubllier jusqu'a l'ebetude dans ces histoires enchanteresse qui m'enivrent et me mettent dans un etat second, que j'aime ecouter comme petite les hiistoires des autres qu m'emerveille, souveins toi de mon vocabulaire , de mes expressions, de mes chansons, de mes mots fantasques, souviens toi que j'aime apprendre et que je n'en sais jamais assez, qu'il n'est jamais tard, que tu peux juste sortir et vivre, que je suis en paix avec moi, je me connais, je m'amuse je connais mes faux semblants, mes mensonges, mes fiertes deplacees, et mon autoritarisme, qu'il faut me juguler, mais pas m'oublier a devenir mievre et pale. Souviens toi de mes ennuis qui vire au mepris devant ceux qui ont perdus en route leur respect pour eux meme, leur energie, leur passion, leur interet, alors sois pas comme eux sil te plait. Fais moi fiere. Fais moi sensible, mais evite les larmes au bord des yeux qui sont trop presentes la tout de suite, continue a ecrire des lettres, hein, oublie pas mes gens, oubliepas que j'aime seduire, que je suis belle quand je veux, que j'ai une volonte brusque et soudaine, irrascible mais determinee, que je suis reactive comme un chat qu'on mouille qui feule et s'echappe en un eclair que j'ai envie d'etre amouruese et pas autre chose, Que je suis intransigeante et que je veux pas de compromis, que je suis entiere, noyauu dur quoique changeant, parfois desepere qu'y n'anbandonne aps par fierte, que non a vie n'est pas si compliquee,non jje le refuse et je resiste jusqu'a plus de souffle, que j'ai une vision simpliciste et enfantiine et que j'y arriverai.
A bientot
Ecrit par kammika, à 17:11 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Dimanche (05/08/07)
mes turlupitudes
et merde. Encore fais chier. Maman veut des nouvelles, et moi je suis muette. Elle m'a demander presque a genoux ( enfin son ecriture y ressemble) de lui dire que j vais ien. Elle veut des mots, et j'ai rien a lui dire. Je sais pas quoi faire. Je suis perdue. Je veux grandir, merde, et je veux pas partager avec elle. Mais je la sens si desperee.
Silece au telepone, silence, ma reactoin que je note il ya 2 senmaines :
PUTAIN DE BESOIN D’ECRIRE
JE NE SAI PAS COMMENT GRANDIR SAN FAIRE MAL A LA FAMILLE.MERDE. JE PEUX PAS M’EMPECHER D’ETRE TOUCHEE, TRISTE, MAMAN qui appelle, pleine de tout ce qu’ilf aut , qui demande alors quest ce qu’il se passé ? Moi je me refugie derriere travail, elle demande socal life, et moi mais qu’est ce que tu veux que jet e dises. Piquee elle raccroche presue immediatement , tu me manques et clac. Je sais pas comment lui dire que je dois grandir, et que je ne veux plus tout partager avec elle, et que merde. Colere contre moi meme et contre juste les choses, parce que j’arrive pas a changer, alors je mets la musqiue a fond, et juste je continue mais besoin d’ecrire, de penser, de metttre en mots mes sentiments perdus
Je sias pas,c 'est l'impasse. Comment lui dire que oui je l'aime tet le bla bla reste mais que j'ai besoin de PARTIR !! De vivre ma vie, a moi, loin, que je suis plus grande et que c'est fini. Je crois que c'est cette fin qui me terriefie parce que j'ai peur qu'il n'y ai pas de nouveau depart apres. 'ai peur de trop detruire par le silence et me faire prendre dans l'engrenage de l'indifference
Sinon j'ai passe des semaines formidables
lundi je suis sortie avec Chris, mardi ils nous ont rendus nos examen j'ai eu un A, mercredi je suis restee avec Chris, jeudi aussi, vendredi on a fait un quick picnic, puis on a fini l bouteille avec Kathleen, puis j'ai pris l'avion pour LA. Puis des reveils tot, pour voir la foret ( wison mountain), des glaces chocolat, orange, piment ( vendredi soir), la plage, une vue superbe, un autre reveil matin vers les escaliers, puis le boulot, puis audrey l'etudiante de maman, puis holliwood et un memorial interressant, puis undiner japonais et cette foi que les gens on ten moi de faire qq'se d'extraordinaire, merde c'est lourd. Puis eviel pour travailler lessay, vol, rtavail, political sciences, pas volley parce que travail, rendre l'essay et je reste ave chris mais lessivee. Puis mardi, calme, reste sur le campus, voit des chretiens interressant vois dora, je miss chris, on voit un film, pas genial les femmes don ton parle, puis je fais des recherches a la ourre, parace que merde je realise que j'ai un esay ( un autre a preparer), pus mercredi cours, commence a reviser pour le midterm de vendredi, fais l'essay, voir chris brievement, jeudi rends un esay pas terrieble, vois chris rapidement, tape les balles de volley pleine d'agressivite. vendredi journe de fous, d'abord le test, puis on fais un picnic avec vin et un politcier nous arree, puis on voit le debut d'un film, puis on va a un concert, et je danse et on rencontre le groupe, personnes genailes, tout ca avec Katleen, qui finalement vient dormir, et on se couche vers 3am. Je dirai plsu
mais jen ai marre je sais pas
'
le prolem avc maman me bleess,e et je ne sias pas quoi faire
Silece au telepone, silence, ma reactoin que je note il ya 2 senmaines :
PUTAIN DE BESOIN D’ECRIRE
JE NE SAI PAS COMMENT GRANDIR SAN FAIRE MAL A LA FAMILLE.MERDE. JE PEUX PAS M’EMPECHER D’ETRE TOUCHEE, TRISTE, MAMAN qui appelle, pleine de tout ce qu’ilf aut , qui demande alors quest ce qu’il se passé ? Moi je me refugie derriere travail, elle demande socal life, et moi mais qu’est ce que tu veux que jet e dises. Piquee elle raccroche presue immediatement , tu me manques et clac. Je sais pas comment lui dire que je dois grandir, et que je ne veux plus tout partager avec elle, et que merde. Colere contre moi meme et contre juste les choses, parce que j’arrive pas a changer, alors je mets la musqiue a fond, et juste je continue mais besoin d’ecrire, de penser, de metttre en mots mes sentiments perdus
Je sias pas,c 'est l'impasse. Comment lui dire que oui je l'aime tet le bla bla reste mais que j'ai besoin de PARTIR !! De vivre ma vie, a moi, loin, que je suis plus grande et que c'est fini. Je crois que c'est cette fin qui me terriefie parce que j'ai peur qu'il n'y ai pas de nouveau depart apres. 'ai peur de trop detruire par le silence et me faire prendre dans l'engrenage de l'indifference
Sinon j'ai passe des semaines formidables
lundi je suis sortie avec Chris, mardi ils nous ont rendus nos examen j'ai eu un A, mercredi je suis restee avec Chris, jeudi aussi, vendredi on a fait un quick picnic, puis on a fini l bouteille avec Kathleen, puis j'ai pris l'avion pour LA. Puis des reveils tot, pour voir la foret ( wison mountain), des glaces chocolat, orange, piment ( vendredi soir), la plage, une vue superbe, un autre reveil matin vers les escaliers, puis le boulot, puis audrey l'etudiante de maman, puis holliwood et un memorial interressant, puis undiner japonais et cette foi que les gens on ten moi de faire qq'se d'extraordinaire, merde c'est lourd. Puis eviel pour travailler lessay, vol, rtavail, political sciences, pas volley parce que travail, rendre l'essay et je reste ave chris mais lessivee. Puis mardi, calme, reste sur le campus, voit des chretiens interressant vois dora, je miss chris, on voit un film, pas genial les femmes don ton parle, puis je fais des recherches a la ourre, parace que merde je realise que j'ai un esay ( un autre a preparer), pus mercredi cours, commence a reviser pour le midterm de vendredi, fais l'essay, voir chris brievement, jeudi rends un esay pas terrieble, vois chris rapidement, tape les balles de volley pleine d'agressivite. vendredi journe de fous, d'abord le test, puis on fais un picnic avec vin et un politcier nous arree, puis on voit le debut d'un film, puis on va a un concert, et je danse et on rencontre le groupe, personnes genailes, tout ca avec Katleen, qui finalement vient dormir, et on se couche vers 3am. Je dirai plsu
mais jen ai marre je sais pas
'
le prolem avc maman me bleess,e et je ne sias pas quoi faire
Ecrit par kammika, à 04:30 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Jeudi (12/07/07)
j'ai des choses a penser , ou pas ?
on je recommence ( parce que je l'ai deja ecrit et que ca n'a pas marche... bien sur !!!) bon alors je suis en vacances, a san fransico dans une superbe maison, avec des personnes attenitionees, une vue a couper le souffle, et je nage dasn le chic, ( ca fait du bien de temps en temps :), j'ai un nouveau copain, c'est mon reveil qui avec la maniere la plus barbare possible s'efforce de m'ejecter de mon lit entre 6 et 7h dumatin, pour que je me dirige vers le bus ( une demie heure de trajet) puis vers le metro( et c'est repartie tralla une autr demie heure, mais sur des sieges confortables cette fois:) Et la rencontre avec des gens gentils, intelligents, droles, ouverts, le campusquoi. Rencontre aussi plus dure, avec la montagnes, de trusc a penser, a ecrire, alire, a reagir a... Aaaaaa
Enfin, j'aime cette ouvertur, tout est frai, vif, possibl, je peux m'imaginer tout et n'importe quoi, jusqu'au bout de mes envies
J'aime l traail, j'aime les defis, j'aime faire des choses, etre utiles, servir a quelque chose, me sentir concernee, engagee, vivante, paplitante d'energie, d'envie, de sourire, derire
je me detache aussi de mes parents, non que j'en ai absolument envie, c'est juste comme ca, c'est comme un bleu ca fait, mal mais il faut bien que e grandisse, et tant pis pour eux, un moment il faut penser a soi, a se liberer, a arreter d'etre bien, grandir
tout cet horizon enorme, immense, pret a m'engloutir, ne me fait paspeur je suis prete, je suis la pour le changement, pour evoluer, pour me decouvrir autre, encore et encore, pour avoir toutes ces possiblites ouvertes, avec grands bas pour moi, pour m'accueillir a la vie,
c'est ca l'espoir ?
Enfin, j'aime cette ouvertur, tout est frai, vif, possibl, je peux m'imaginer tout et n'importe quoi, jusqu'au bout de mes envies
J'aime l traail, j'aime les defis, j'aime faire des choses, etre utiles, servir a quelque chose, me sentir concernee, engagee, vivante, paplitante d'energie, d'envie, de sourire, derire
je me detache aussi de mes parents, non que j'en ai absolument envie, c'est juste comme ca, c'est comme un bleu ca fait, mal mais il faut bien que e grandisse, et tant pis pour eux, un moment il faut penser a soi, a se liberer, a arreter d'etre bien, grandir
tout cet horizon enorme, immense, pret a m'engloutir, ne me fait paspeur je suis prete, je suis la pour le changement, pour evoluer, pour me decouvrir autre, encore et encore, pour avoir toutes ces possiblites ouvertes, avec grands bas pour moi, pour m'accueillir a la vie,
c'est ca l'espoir ?
Ecrit par kammika, à 05:53 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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j'imagine que j'ai des choses a dire, ou pas ?
Ecrit par kammika, à 05:46 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Mercredi (06/06/07)
et sinon ?
et bien j'ai finit les cours hir, je revise mn bac francais pour la semaine prochaine ( ecrit), j'ai l'oral le 27, on part avec Will Hay, mister Lezard et E, chez Will, pour reviser quelque jours, le theatre a ete formidable, j'ai eu le prix de l'investissemnt, on a fait un diner chez mon doublon sympa et pepere, je suis morose, mais ca va mieux, j'ai besoin de partir, de vivre loin de la famille, j'etouffe, dasn la maison, en plus il fait lourd. Je m'interrresse aux cours metrgaes a cause de f, mais ca m'apporte egalement, de tout maniere avec lui ca va pas marcher, la guitare a ses hauts et ses bas, je pars en universite cet ete, pour decouviri un peu d'ailleurs encore. j'ai vu des tres bea Lubischt, j'ai mencie de faire un film des potos, d'exprimer quelque chose d'autre. jai lu les notes de Bresson et ca donne irremiadiablement envie. J'arrive pas ecrire longtemps, mais soeur et sa flute m'inssupportes, j'ai besoin de sortir, je ne suis pas heuruese a lamaison avec ma famille.
J'ai achete unimper avec des parapluis
Quelque mot que j'ai retrouve :
ennui chasse enfer insolite
poitrine vole jour peuvent ete desir devore seins
epine genou, cuisse, levre, forme, extase
sasn femme epong c'est une inuscule pulpe orange
invisible depuiis espere regard instinct inutile attacher la lumiree miel
parresse fait reve
immense sommeil la rouge ridicule
ta sourire et ta visage est celeste
J'ai achete unimper avec des parapluis
Quelque mot que j'ai retrouve :
ennui chasse enfer insolite
poitrine vole jour peuvent ete desir devore seins
epine genou, cuisse, levre, forme, extase
sasn femme epong c'est une inuscule pulpe orange
invisible depuiis espere regard instinct inutile attacher la lumiree miel
parresse fait reve
immense sommeil la rouge ridicule
ta sourire et ta visage est celeste
Ecrit par kammika, à 14:33 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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une ame de collectionneuse
si je pouvais je collectionnerai les portes, les fenetres, les petites, les biscornues, les respirantes, avec de la dentelle, de travers, celle ou on ne peut pas passer, les maison qui ont trop bu, qui flanchissent, ewn vase, pas droite, qui ont le bidon de biere, qui vacille, les gens, qui passsent, les vieux sur le banc, le costume de cet homme, qui tremblote, tout digne et a l'abandon, petit marceau d'un autre temps. j'avalerai tout paris, je l'absorberai, et le comtemplerai, m'abreuverai a sa source de surprises perpetuelles, en constant mouvement, vivace, lent, les cours cachees comme des secrets joyaux.Ces cours, qui permettent l'eclosion, le secret, l'espace, la liberte, dans les nouveaux immeubles on etouffe sans ces cours, qu'on devine sous les verres des portes, et surpriese en voyant son intuiton confirmee, si j'avais des yeux pour faire des photos, je m'attacherai, au tour des rues, aux discussions des vieux, et des jeunes, a leurs jeux. Le milieu est trop preoccuppe, les exztremes sont les plus expressifs, aux sourrires, au rides, je prendrai le bus, et voila l'aventure. Enfant de Paris envers et contre tout, paris vibre en moi, emerveillement constant, des ruelles, de simpassezx, des batiments,, de l'equilibre precaire, des couleurs, de la seine, des escalires, des murals, des tout.
Ame d'une collectionneuse .
Ame d'une collectionneuse .
Ecrit par kammika, à 14:25 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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Mercredi (25/04/07)
une nuit de fin avril
alors apres le theatre je marche. Ce soir, c'etait comme des duvet ouates qui neigeaient sur la chaussee. Des petites bribes qui etaient chassees de ca et la par les voitures. Un ballet de pirouettes, de voltiges, d'equilibrites noctambules. Fascinee, je marche, avec le bruit dune pompe a eau qui trouee fait la cigale de ville. Les journees sont longues, s'etirent jusqu'a bout de mon souffle. La semaine de decors, puis celle de repet, puis enfin celle de jeu. Drole d'anee, je me sens tellement demunie sur scene, ca fait si lontemps que je 'ai pas eu un role, et la plaf la claque. Je m'amuse aps j'ai epur, je bafouille, je me perds. J'ai l'impression de ne plus appartenir a rien. ni avec hay et Will qui sans se rendre compte m'exclus doucement, a moins que ce ne soit moi, ni autre part. on m'apprecie je souris, je parle a beaucoup de gens, mais j'ai toujours l'impression d'etre de trop, ou juste decalee. Ca me manque une bonne barre, sans debut force, spontanee, juste celle ou tu pleures sans t'arreter et apres tu souris toute la nuit.
Marceau est sortit de l'hospitalisation d'urgence. je reprend mon souffle. j'espere. Sil te plait ne lache pas.S'il te plait.
Marceau est sortit de l'hospitalisation d'urgence. je reprend mon souffle. j'espere. Sil te plait ne lache pas.S'il te plait.
Ecrit par kammika, à 23:41 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.
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