lettre
A mes vingt ans, mes quarante ans ou mes cent ans, à moi futur à moi proche
je suis à l'aube de mes dix sept ans une petite semaine et ca y est. Alors j'ai cette idee qui virvolte dans ma tete et ces phrases qui s'alignent toutes faites pour vous mes ages prochains. Pour vous dire comment j'etais pour ne pas changer, pour marquer ces jours passiones ou tout vibre et chatoie intensement ou je regarde eperdue tout avec un desir immense d'absolu. Je regarde les jours , je regarde les gens, je suis la, presente, vivante, moqueuse, j'ai le droit de tout, de courir pied nu, de rire, de me faire des rires, de prendre du pouvoir comme une gamine, de jouer cruellement avec les autres, pleine de morgue, d'etonner, de crier et de rire fort, j'ai le droit de tourner et de vivre jusqu'a plus faim. Puis la tete lourde et vite lassee de m'eendormir mollemement. Je danse en baskette et pieds nus, les voix m font frissoner, tremler l'echine, les mots de colette sont beaux, je suis la, je suis souple et je souris, jesuis capricieuse et je vibre.
J'ai le droit de rever a l'impossible, puisque tout est a portee de main et je sais que je me bas alors toi la prochiane moi bas toi, n'abandonne pas, ecris, jette a la face tes envies tes reves, m'oublie pas, oublie pas que tu as ete follasque, que tu sautais sur ton velo, pedalant pour voir le dehors, les autres, que tu te nourrissais de leur pas, ces autres, que tu as ete ambitieuse et indolente, que tu as fait des photos, que tu t'es tremoussee jusqu'a epuisement, que tu as ete une chasseuse d'mage, de maison detruites sentant le platre et le souoffre, carcasse que l'on dechire en piece, que l'on eventre a coup de fracas, le vieux monsieur face a face avec la rue dans sa cabine telephonique au soir qui tombait qui regardait intensement la rue, cherchant je ne sais quel souvenir, la vitre de cabine telephonique brisee, le verre pile segrenant sur le sol en autant de petit cristal vert d'eau, la branche d'arbre eclatee par terre suite a un brusque coup de vent et une voiture, le miroir qui reflete le ciel a cote de la moto dou il vient, le melon mange et creux sur les bords de l'eglise, souviens toi que tu vis dehors dans la ballade, le rythme pulsionnel de la foule et la Seine.
Souviens toi que tu as eu peur mais que tu fanfaronnes souviens toi de moi sil te plait. J'ai un peu peur de grandir, je ne sais plus biien ce qu'est l''age ni surtout ce qu'ai mon age, souviens toi de mon energie, et optimisme de ma foi dans la vie dans moi, parce que je sais que je peux y arriver je veuux y croire. Souviens toi de tout ce qu'oon a jamais assez e temps de faire, souviens toi que j'aime lire, j'aime m'oubllier jusqu'a l'ebetude dans ces histoires enchanteresse qui m'enivrent et me mettent dans un etat second, que j'aime ecouter comme petite les hiistoires des autres qu m'emerveille, souveins toi de mon vocabulaire , de mes expressions, de mes chansons, de mes mots fantasques, souviens toi que j'aime apprendre et que je n'en sais jamais assez, qu'il n'est jamais tard, que tu peux juste sortir et vivre, que je suis en paix avec moi, je me connais, je m'amuse je connais mes faux semblants, mes mensonges, mes fiertes deplacees, et mon autoritarisme, qu'il faut me juguler, mais pas m'oublier a devenir mievre et pale. Souviens toi de mes ennuis qui vire au mepris devant ceux qui ont perdus en route leur respect pour eux meme, leur energie, leur passion, leur interet, alors sois pas comme eux sil te plait. Fais moi fiere. Fais moi sensible, mais evite les larmes au bord des yeux qui sont trop presentes la tout de suite, continue a ecrire des lettres, hein, oublie pas mes gens, oubliepas que j'aime seduire, que je suis belle quand je veux, que j'ai une volonte brusque et soudaine, irrascible mais determinee, que je suis reactive comme un chat qu'on mouille qui feule et s'echappe en un eclair que j'ai envie d'etre amouruese et pas autre chose, Que je suis intransigeante et que je veux pas de compromis, que je suis entiere, noyauu dur quoique changeant, parfois desepere qu'y n'anbandonne aps par fierte, que non a vie n'est pas si compliquee,non jje le refuse et je resiste jusqu'a plus de souffle, que j'ai une vision simpliciste et enfantiine et que j'y arriverai.
A bientot
je suis à l'aube de mes dix sept ans une petite semaine et ca y est. Alors j'ai cette idee qui virvolte dans ma tete et ces phrases qui s'alignent toutes faites pour vous mes ages prochains. Pour vous dire comment j'etais pour ne pas changer, pour marquer ces jours passiones ou tout vibre et chatoie intensement ou je regarde eperdue tout avec un desir immense d'absolu. Je regarde les jours , je regarde les gens, je suis la, presente, vivante, moqueuse, j'ai le droit de tout, de courir pied nu, de rire, de me faire des rires, de prendre du pouvoir comme une gamine, de jouer cruellement avec les autres, pleine de morgue, d'etonner, de crier et de rire fort, j'ai le droit de tourner et de vivre jusqu'a plus faim. Puis la tete lourde et vite lassee de m'eendormir mollemement. Je danse en baskette et pieds nus, les voix m font frissoner, tremler l'echine, les mots de colette sont beaux, je suis la, je suis souple et je souris, jesuis capricieuse et je vibre.
J'ai le droit de rever a l'impossible, puisque tout est a portee de main et je sais que je me bas alors toi la prochiane moi bas toi, n'abandonne pas, ecris, jette a la face tes envies tes reves, m'oublie pas, oublie pas que tu as ete follasque, que tu sautais sur ton velo, pedalant pour voir le dehors, les autres, que tu te nourrissais de leur pas, ces autres, que tu as ete ambitieuse et indolente, que tu as fait des photos, que tu t'es tremoussee jusqu'a epuisement, que tu as ete une chasseuse d'mage, de maison detruites sentant le platre et le souoffre, carcasse que l'on dechire en piece, que l'on eventre a coup de fracas, le vieux monsieur face a face avec la rue dans sa cabine telephonique au soir qui tombait qui regardait intensement la rue, cherchant je ne sais quel souvenir, la vitre de cabine telephonique brisee, le verre pile segrenant sur le sol en autant de petit cristal vert d'eau, la branche d'arbre eclatee par terre suite a un brusque coup de vent et une voiture, le miroir qui reflete le ciel a cote de la moto dou il vient, le melon mange et creux sur les bords de l'eglise, souviens toi que tu vis dehors dans la ballade, le rythme pulsionnel de la foule et la Seine.
Souviens toi que tu as eu peur mais que tu fanfaronnes souviens toi de moi sil te plait. J'ai un peu peur de grandir, je ne sais plus biien ce qu'est l''age ni surtout ce qu'ai mon age, souviens toi de mon energie, et optimisme de ma foi dans la vie dans moi, parce que je sais que je peux y arriver je veuux y croire. Souviens toi de tout ce qu'oon a jamais assez e temps de faire, souviens toi que j'aime lire, j'aime m'oubllier jusqu'a l'ebetude dans ces histoires enchanteresse qui m'enivrent et me mettent dans un etat second, que j'aime ecouter comme petite les hiistoires des autres qu m'emerveille, souveins toi de mon vocabulaire , de mes expressions, de mes chansons, de mes mots fantasques, souviens toi que j'aime apprendre et que je n'en sais jamais assez, qu'il n'est jamais tard, que tu peux juste sortir et vivre, que je suis en paix avec moi, je me connais, je m'amuse je connais mes faux semblants, mes mensonges, mes fiertes deplacees, et mon autoritarisme, qu'il faut me juguler, mais pas m'oublier a devenir mievre et pale. Souviens toi de mes ennuis qui vire au mepris devant ceux qui ont perdus en route leur respect pour eux meme, leur energie, leur passion, leur interet, alors sois pas comme eux sil te plait. Fais moi fiere. Fais moi sensible, mais evite les larmes au bord des yeux qui sont trop presentes la tout de suite, continue a ecrire des lettres, hein, oublie pas mes gens, oubliepas que j'aime seduire, que je suis belle quand je veux, que j'ai une volonte brusque et soudaine, irrascible mais determinee, que je suis reactive comme un chat qu'on mouille qui feule et s'echappe en un eclair que j'ai envie d'etre amouruese et pas autre chose, Que je suis intransigeante et que je veux pas de compromis, que je suis entiere, noyauu dur quoique changeant, parfois desepere qu'y n'anbandonne aps par fierte, que non a vie n'est pas si compliquee,non jje le refuse et je resiste jusqu'a plus de souffle, que j'ai une vision simpliciste et enfantiine et que j'y arriverai.
A bientot
Ecrit par kammika, le Dimanche 16 Mars 2008, 17:11 dans la rubrique a travers ma vitre : le coucher de soleil.