Elle marche
Elle marche.
Elle a une douleur dans la hanche, piqure acide ; parfois c'est dans les genoux, ou bien les chevilles, ils lui parlent ainsi.
Elle marche.
Elle les ecoute. Elle sait qu'ils revent du sable, onctueux, ou de cette terre, remplie de gazon doux, accueillante, ils le lui disent bien.
Elle marche.
Elle tousse. Oui, ses poumons aussi lui disent que la ville leur est hostile. Qu'elle les gratte, les irrite, qu'ils attendent l'ar des campagnes, ils sont fait pour cela.
Elle marche.
Mais elle aime la ville, le Bruit, l'Agitation. L'Energie. Les gens, les gens qui bougent, les gens qui vivent et qui revent, les gens qui sont la. Et ça c'est la que ça se trouve.
Elle marche.
Elle vit la, dans la ville pour eux. Ou plutot, pour la magie qui parfois arrive entre deux de ces gens, entre deux personnes. Quand elles se regardent. S'echangent. Se partagent. Se sourient.
Elle marche.
Souvent il faut plonger la première et s'assumer entière. Assumer sa curiosité, ses envies et ses regards qui dérivent vers les autres parce qu'elle vit. Faut les regarder, quitte à les gêner, faut leur sourire. Pour comprendre. Dans les deux sens. Parce que les gens vivent ensemble dans une ville, et partagent. Qu'ils le veuillent ou non.
Elle MARCHE .
Juste une histoire d'un soir qui tombe, et d'une partie de moi.
Elle a une douleur dans la hanche, piqure acide ; parfois c'est dans les genoux, ou bien les chevilles, ils lui parlent ainsi.
Elle marche.
Elle les ecoute. Elle sait qu'ils revent du sable, onctueux, ou de cette terre, remplie de gazon doux, accueillante, ils le lui disent bien.
Elle marche.
Elle tousse. Oui, ses poumons aussi lui disent que la ville leur est hostile. Qu'elle les gratte, les irrite, qu'ils attendent l'ar des campagnes, ils sont fait pour cela.
Elle marche.
Mais elle aime la ville, le Bruit, l'Agitation. L'Energie. Les gens, les gens qui bougent, les gens qui vivent et qui revent, les gens qui sont la. Et ça c'est la que ça se trouve.
Elle marche.
Elle vit la, dans la ville pour eux. Ou plutot, pour la magie qui parfois arrive entre deux de ces gens, entre deux personnes. Quand elles se regardent. S'echangent. Se partagent. Se sourient.
Elle marche.
Souvent il faut plonger la première et s'assumer entière. Assumer sa curiosité, ses envies et ses regards qui dérivent vers les autres parce qu'elle vit. Faut les regarder, quitte à les gêner, faut leur sourire. Pour comprendre. Dans les deux sens. Parce que les gens vivent ensemble dans une ville, et partagent. Qu'ils le veuillent ou non.
Elle MARCHE .
Juste une histoire d'un soir qui tombe, et d'une partie de moi.
Ecrit par kammika, le Vendredi 5 Janvier 2007, 15:04 dans la rubrique les frissons de fictions.